zyra

Deal Aime

Mardi 29 septembre 2009 à 20:07

Non mais c'est vrai, depuis toujours on parle de Jack potes.... depuis quand on veut faire gagner à des inconnus mes amis? non mais je m'y oppose!  Mes amis ne sont pas à gagner, ils sont à découvrir et à apprécier. Que les choses soit bien comprises non mais! alors on reprend en coeur: NON AUX JACKPOTS  NON AUX JACKPOTS NON AUX JACKPOTS.

Vendredi 18 septembre 2009 à 23:02

Une image, des senteurs, des couleurs, des impressions, des cavaliers, des ombres…

Et puis voila que le journal télévisé dont son déroulement était indépendant de mon attention ravive ma concentration sur l’écran luminescent du salon. Un nom particulier revient à ma mémoire, ce nom dont j’ai cherché vainement cet été à quoi je me devais de le connaître. Dans cette région ou le Couesnon fait parler de lui de sa vallée qui a fait écho jusque dans ma mémoire jusqu’à la baie du Mont Saint Michel ou il sera un élément essentiel du futur de ce majestueux endroit.

Ce week end de septembre va voir la mise en service du barrage érigé sur le Couesnon afin que par un phénomène de marée amplifié et par la non canalisation de l’échappement des eaux, provoquer un déplacement des sédiments vers le large. Si la fin du XIXe siècle a vu l’édification de la route conduisant en partie à l’ensablement du mont, ce début de XXIe siècle ouvre une issue inverse en rendant partiellement au Mont son coté insulaire.  Je ne sais plus vraiment ce que je dois penser, d’un coté comme un rêve d’enfant d’un Mont insulaire avec ses mouvements de foule réduit et d’un autre coté, l’aspect économique de cette région bien que moins romantique n’en demeure pas moins une réalité absolue. Peut être que les souvenirs de l’été seront à classer dans un album du passé ou peut être sera-t-il encore réalité pour des décennies encore…


Dimanche 13 septembre 2009 à 0:45

Et puis voila quoi c’est ainsi c’est ça la vie

La raison qui fait qu’elle est une compagnie,

La raison qui donne le prétexte à son envie

Est présente et elle se fait désirablement amie.

 

Faire de son voisinage un réconfort illusoire

Au bout de l’irraisonnable doute de l’espoir.

Inviter ses souvenirs pour se donner un présent

Tenter de l’apprivoiser pour aller de l’avant.

 

Défaire les nœuds de son esprit et le laisser

Une fois seulement en toute liberté s’évader.

 

Bobine du temps en images négatives saccadées,

Inversion du sens de déroulement pour retrouver

Entre les cliquetis la cadence des vingt quatre clics

Nombre d’images déroulées pour la mémoire, déclic.

 

Quoi de plus simple que de voir le passé pour avancer.

Un regard salutaire pour comprendre et progresser

Avec toujours à l’esprit cette envie forte d’arriver.

Nul ne peut savoir ou même simplement imaginer

Dans ce scénario des plus improbables ma réalité.

 

Chercher à comprendre pour exister, pour savoir

A quoi on peut se raccrocher, à quoi pouvoir croire.

 

N’imprimer aucune marque sous le sceau confiance

Eviter de mélanger les impressions de l’enfance.

 

Vivre parce qu’il le faut pour ceux à qui on se doit

Avec envie et avec souhait de se sentir presque droit.

 

Parce que l’on ne peut tout maitriser dans l’avenir

Avec la certitude de savoir que la voie va sourire.

Souhaiter le meilleur pour voir ses amis sourire.

 


Samedi 12 septembre 2009 à 23:46

Maintenant que l’automne nous arrive

En ce mois ou les résolutions filent.

Rien de plus, rien de moins, rien.

Descendre les escaliers dans le noir

Eviter de réfléchir pour ne pas croire.


Samedi 12 septembre 2009 à 0:44

Quand je repense à mon voyage chez les Trolls je souris

Une fois de plus en m’imaginant leur ami redevenu petit

Instant privilégié pour retrouver ce passé à jamais enfouis.

 

Mais voila mon chemin continu en compagnie des Gnomes

Entourés d’une ribambelle  multicolore de gentils mômes.

 

Par les collines verdoyantes de ce drôle de monde imaginaire

Rayonne une boule bleutée sautillant sur le sentier de terre.

Entre les branches feuillues d’un parement d’un tendre vert

Ne passe que ces reflets clairs de lumière en soleil de verre

Dans une harmonie de nuances que seule la musique vénère.

 

Parcourant ces lieux avec Mérigno le chef de la communauté

Obligé de me baisser pour le suivre et avec mes amis amusés

Une fois de plus de ma grande taille et se jouent à me mimer

Rasant le sol pour les suivre sous les branches sans les briser.

 

Le sol est jonché de feuilles brunes annonciatrice de l’automne

Avec ces senteurs boisées qui montent aux narines des hommes.

 

Méticuleusement les gnomes effacent la moindre trace de passage

En replaçant les feuilles du sous bois qui retrouve le calme des sages.

Regardant au travers des arbres je distingue les nuages paradant

Généreusement au dessus de nos têtes sous les assauts des vents.

Un ballet aux tableaux changeants à chaque partition musicale

Ecrites et jouées par des instruments imaginaires et cymbales.

Zéphire, Autant, Tramontane, autant de vent an accord de Mistral.

 

Dans cet univers ou l’imaginaire le dispute au réel j’ouvre les yeux

Et observe magique ou le temps ne compte pour les jeunes et vieux.

 

 

Saut de puce pour moi bond de géant pour eux nous progressons

Entre racines et plantes sauvages tant de saveurs que nous savourons.

Régal pour les yeux un bouquet multicolore de reliefs de lumière

Venant du ciel diffuse ses teintes pastelles à l’allure de rivière.

Invitation au rêve dans cet espace irréel que vous ne comprenez pas

Car vous n’avez pas embarqués dans ce souffle de poésie délicat

Et fragile que seuls mes Gnomes peuvent insuffler de ci de la

 

De retour au pays des humains je me surprends à sourire sans raison

Avec dans la tête toutes ces images en forme d’étendards ou de blasons.

Naviguer au milieu de ce chemin de souvenirs réels ou rêvés que sais-je

Sentir cette impression de bien être pour me faire aller  encore mieux.

 

Comment ne pas se sentir troublé quand on ne fait la différence certaine

Entre ces deux mondes qui sont si proches mais comme deux îles lointaines.

 

Chercher à savoir pourquoi les enfants rêvent éveillés en permanence

Oubliant que c’est justement le premier des privilèges de l’enfance.

Usant de tous les subterfuges pour trouver une explication rationnelle

Sur les raisons qui font qu’en grandissant nous perdons la plus belle

Chose que nous possédions, l’innocence d’accepter les choses ordinaires.

Ouvrir la porte de la nature et marcher les pieds nus sur cette belle terre.

Une fois seulement fermer les yeux et regarder dans son imaginaire

Survoler ses rêves et sourire pour transmettre la joie de vivre sur terre.


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