zyra

Deal Aime

Mardi 21 octobre 2008 à 22:20

Alors oui pour en revenir à cet article le point de départ est un délire au téléphone ou l'on s'est projeté dans les années futures avec les dérives qu'il pourait y avoir ....
J'vous souhaite ne jamais ressembler à ça!


Mardi 21 octobre 2008 à 22:07

Il était une fois comme il en arrive parfois
Avec des histoires communes de tous les jours
Ou les faits prennent un autre parcours
Pour finir qu'on se demande pourquoi.

Cette réflexion me vient peu de temps
Après repensé à un très long métrage
Film repassé ou se bouculent mille images
Succession de saisons sur air d'antan.

Je me suis vu me parler et m'étonner
De ce que je pensais à mes animaux
Me demandant si rentrer bientôt
Changer les litières et à manger donner.

Vous vous demandez ou je veux en venir
Après ces quelques lignes posées simplement
Naviguant dans la tête en plein tremblement
Avant de ne plus imaginer l'avenir.

J'ai eu bien peur hier en début d'après midi
Alors que tout se présentait vraiment bien
Me suis senti partir sans que j'y comprenne rien
Seulement des pensées absurdes sur la vie.

Pompiers en alerte gyrophares allumés
Urgentistes sur la brèche examens immédiats
Cinq heures écoulées et le bilan rassura
Retour à la maison et animaux retrouva.

Samedi 4 octobre 2008 à 12:10

JE NE DIS PAS

Je ne dis pas que je suis facile à vivre
A naviguer comme un bateau ivre
Au gré de mes humeurs qui vibrent
J'égraine les pages de vie de ce livre.

Je ne dis pas que je n'ai jamais songé
A vouloir revenir sur des souvenirs cassés
Pour me redonner l'envie de recommencer
Pour ne pas refaire tant d'actes du passé.

Je ne dis pas que j'aime les grandes villes
Que j'ignore que la vie est comme une pile
D'histoires de jours et battements de cils
Qui est rarement des fleuves tranquilles.

Je ne dis pas que j'ignore ce qui se passe
Au plus profond de moi, situation cocasse
Qui est insensiblement prend toute la place
Et fait qu'en ce moment ça me dépasse.

Je ne dis pas que je vis un lourd dilemme
En pensant que je ne suis pas dans le thème
Pas dans le conformisme au teint blême
Tout ça parce que j'ose te dire je t'aime.


Mercredi 1er octobre 2008 à 21:24

Au cours d'un début de soirée m'est venu la réflexion sur les choses que l'on ne dit pas. Ces choses qui soujacentes de l'écrit ou des mots sont chargées de significations souvent lourdes.

Combien de sens donnés à de silencieux regards. Qu'ils soient heureux ou maheureux ils ne cessent de hanter ceux qui se pensent concernés. Alors qu'en penser...

J'ai envie de distinguer plusieurs aspects d'une non information, d'une non compréhension, d'un non problème.

Secrets de famille ou système d'éducation, les non-dit s'accroche au souvenir douloureux d'un évènement, jamais d'instant de bonheur cher au ciment extérieur d'un mal être parfois profond. Ces secrets sont futiles et désuets pour la plupart d'entre eux d'ou une certaine gêne d'en parler au risque de sarcasme en retour.
Plus grave ceux concernant la structure même de la famille aux conséquences directes et indirectes sur la cellule familiale. Chacun songera à des faits connus à titre personnel ou relatés par les médias. Que ce soit les origines d'une naissance, du rejet d'un enfant indésiré et devenu indésirable, du décès ou de la disparition volontaire d'un membre de cette famille, tout n'est pour beaucoup pas bon à dire. Mais alors comment juger ce qui est bon ou pas, et pour qui? Pour les auteurs ou acteurs de ces faits cachés? pour les condidents de ses faits? surement. Pour les autres, pour ceux concernés ne serait-ce pas une double sanction de décisions ne les concernant pas ou pourtant ils en sont le résultat?
Je ne pense pas que ce qui ressort des secrets de famille doit être tabou. Maintenir un secret déssert ceux que l'on souhaite sois disant préserver par une feine ignorance. Tôt ou tard, le ressenti éclate en vérité et le prévisible éclatement des vies parachève le désastre.

Relations personnelles et intimes possèdent eux aussi leurs non-écrit, leurs non-dit. Mais alors pourquoi? Au premier degré il s'agira de conserver ce mystère qui devient amblématique pour qui cherche à le percer. Un jeu sobre ou se découvrir se mérite. Des dénégations de plus en plus affirmées au fil des rapprochements, au fil des découvertes pour aboutir soit à une communion d'esprit ou de sentiments, soit à une interruption en forme de fuite. Ou se trouve la limite entre les deux, ou s'arrête la séduction pour laisser place à l'indifférence progressive. Se cacher derrière d'autres mots, derrière de l'humour pour ne pas écrire ou exprimer ses sentiments réels?

Dans les deux cas je retrouve la même source alimentant ce déni de soi, la peur. Cette peur imaginaire souvent, réelle parfois fait son oeuvre. Il n'est point de médication pour la combattre si ce n'est que l'expression. L'expression sous toutes ses formes est régénératrice de l'esprit, régénératrice de la conscience. Parler, oser dire, se prendre par les consonnes pour dérouler les lettres libératrices.

Liberté je t'aime parce que tu permets d'oser, tu stimules les envies, tu offres la vie que tu nous proposes de croquer.

Nous voici arrivé au bout de cette réflexion. Elle est mienne, écrite dans le fil de la pensée.


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