zyra

Deal Aime

Jeudi 28 août 2008 à 8:30

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A COTE

 

A coté … à coté !

Ce n'est pas facile de le deviner, tantôt cheval, tantôt tête de chien ou peut être mouvement de mer dans le sable farineux de la plage…. Mais alors pourquoi se perche t-il la haut, mélangé à l'azur de la pureté de ce ciel d'été ? Oh surement le besoin d'un contraste, lui si pâle et aux formes approximatives ou pénètre l'imaginaire du vagabond ou du couple en rêverie.

 

A coté…. oui peut être !

Il ne sert à rien en apparence, perché comme il est, balloté aux courants ascendants. Ou peut être si, il sert à faire remarquer que le ciel est bleu, que le léger zéphire sculpte ses formes comme un auteur ses héroïnes. Ça le rend mystérieux. Il intrigue. On s'en méfie. Une amplitude imprévue le colorant légèrement et c'est le doute, la crainte de voir disparaître le tableau coloré d'apostrophes au profit d'un masque sombre de l'oppression.

 

A coté… surement !

Parcourant son chemin il n'aura pourtant pas cédé au désarroi des esprits inventifs voulant le rendre messie d'une journée détestable. Il chemine changeant son spectre en haut de forme sans tête. Mais alors pourquoi couvrir ce chef qui n'est pas tête ? Et combien même à quoi cette tête recouverte de son couvre chef pourrait elle servir sans corps ? Parce qu'évidement il n'a pas de corps ou du moins on ne le remarque pas. Et l'on s'étonne de son manque de conversation ou ses idées ne peuvent prendre corps.

 

A coté… pas si sur !

Sans gêner ni quelqu'un ni personne sauf lui peut être lors de ses introspection pendant son changement de visuel pour paraître yeux profonds de nulle part, il fait sa route. Une route en dégradé, en parallèle oblique de la vie de ses observateurs. Comment s'appelle t-il déjà ? Qu'importe, après tout on le regarde sans lui parler, on parle de lui sans le regarder alors qu'importe quel est son nom mais il est la. On ne sait pas ce qu'il pense, ce qu'il fait, ce qu'il cherche mais on sait qu'il est la même s'il se confond souvent avec la cotonneuse toile de son univers, caché  mais pas dissout, invisible mais pas absent.

 

A coté… non !

Hey vous…. Hey vous qui pensiez me connaître. Vous qui pensiez, qui rêviez, qui viviez en me regardant, en êtes vous certains ? Etes vous certains que je n'existe que dans la haute atmosphère ?  J'ai reçu la foudre de vos regards inquisiteurs. Je suis à vos pieds maintenant, vous me marchez dessus. A quoi bon me ramasser, vous aspirez à mon évaporation.

 

C'est fait…

 

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