zyra

Deal Aime

Mardi 21 octobre 2008 à 22:07

Il était une fois comme il en arrive parfois
Avec des histoires communes de tous les jours
Ou les faits prennent un autre parcours
Pour finir qu'on se demande pourquoi.

Cette réflexion me vient peu de temps
Après repensé à un très long métrage
Film repassé ou se bouculent mille images
Succession de saisons sur air d'antan.

Je me suis vu me parler et m'étonner
De ce que je pensais à mes animaux
Me demandant si rentrer bientôt
Changer les litières et à manger donner.

Vous vous demandez ou je veux en venir
Après ces quelques lignes posées simplement
Naviguant dans la tête en plein tremblement
Avant de ne plus imaginer l'avenir.

J'ai eu bien peur hier en début d'après midi
Alors que tout se présentait vraiment bien
Me suis senti partir sans que j'y comprenne rien
Seulement des pensées absurdes sur la vie.

Pompiers en alerte gyrophares allumés
Urgentistes sur la brèche examens immédiats
Cinq heures écoulées et le bilan rassura
Retour à la maison et animaux retrouva.

Vendredi 26 septembre 2008 à 0:02

Au début, sachant que j'allais écrire sur ce sujet, je ne souhaitais pas le publier. Peut être le trouvais-je trop personnel et mal écrit puisque jeté au fil de mes impressions et sentiments. Finalement, le retoucher ne serait pas être en accord avec moi...

Ce n'est pas Mozart, les bronzés ou Madona, simplement un paquebot qui se fait entendre sur le bureau. Je souris en voyant l'auteur de l'appel manqué. Liste des favoris. Le doigt glisse sur l'écran jusqu'au nom. Composition du numéro. Sonneries. Une voix. Je sens la chaleur de la voix, une douceur enrobée de rire. Je me sens bien, tout simplement. Le temps passe sans que nous y prenions garde. Les sujets se succèdent.

Et puis ensuite une question simple en apparence. Une question que l'on se balance entre connaissances pour jouer, s'amuser et à laquelle on répond enjoué, amusé de la réponse des autres. Et puis voila, la même question au téléphone. Nous sommes deux. Chacun de son coté. L'un le boitier de plastique à l'oreille, l'autre son oreillette. Et la, la question si légère devient une question lourde de sens, ou la réponse est difficile. Les sentiments se mélanges au rationnel pour rendre difficile à exprimer la réponse que l'on pense et qui se traduit par des mots répétés, bégayés. Une simple question. Deux attitudes pour y répondre. La plus aisées mais la moins franche par l'humour d'un jeu entre amis. La plus vraie en tête à tête par les ondes.

Fenêtre ouverte involontairement sur un confidentiel secret. Un secret lourd porté trop longtemps. Un secret délivré en souffrance à une oreille amie attentive. Une délivrance dans le cri. Une communication d'une intensité qui la rend belle.

Voila je devais écrire, je devais parler. Une seule personne sait de quoi il s'agit. A cette personne je lui dit merci. Un merci entier et fort. Je lui dois lors de cette communication le bonheur d'une délivrance, le bonheur de son contact, le bonheur de lui parler.

A bientôt pour des choses plus légères...

Certains ont le courage et le talent de dire à leurs amis qu'ils les aime. Je ne peux faire ce chemin de poésie vérité avec le même talent mais le nombre très restreint d'amis sait ce qu'ils représentent pour moi.

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