zyra

Deal Aime

Mardi 21 octobre 2008 à 22:20

Alors oui pour en revenir à cet article le point de départ est un délire au téléphone ou l'on s'est projeté dans les années futures avec les dérives qu'il pourait y avoir ....
J'vous souhaite ne jamais ressembler à ça!


Samedi 4 octobre 2008 à 12:10

JE NE DIS PAS

Je ne dis pas que je suis facile à vivre
A naviguer comme un bateau ivre
Au gré de mes humeurs qui vibrent
J'égraine les pages de vie de ce livre.

Je ne dis pas que je n'ai jamais songé
A vouloir revenir sur des souvenirs cassés
Pour me redonner l'envie de recommencer
Pour ne pas refaire tant d'actes du passé.

Je ne dis pas que j'aime les grandes villes
Que j'ignore que la vie est comme une pile
D'histoires de jours et battements de cils
Qui est rarement des fleuves tranquilles.

Je ne dis pas que j'ignore ce qui se passe
Au plus profond de moi, situation cocasse
Qui est insensiblement prend toute la place
Et fait qu'en ce moment ça me dépasse.

Je ne dis pas que je vis un lourd dilemme
En pensant que je ne suis pas dans le thème
Pas dans le conformisme au teint blême
Tout ça parce que j'ose te dire je t'aime.


Mercredi 1er octobre 2008 à 21:24

Au cours d'un début de soirée m'est venu la réflexion sur les choses que l'on ne dit pas. Ces choses qui soujacentes de l'écrit ou des mots sont chargées de significations souvent lourdes.

Combien de sens donnés à de silencieux regards. Qu'ils soient heureux ou maheureux ils ne cessent de hanter ceux qui se pensent concernés. Alors qu'en penser...

J'ai envie de distinguer plusieurs aspects d'une non information, d'une non compréhension, d'un non problème.

Secrets de famille ou système d'éducation, les non-dit s'accroche au souvenir douloureux d'un évènement, jamais d'instant de bonheur cher au ciment extérieur d'un mal être parfois profond. Ces secrets sont futiles et désuets pour la plupart d'entre eux d'ou une certaine gêne d'en parler au risque de sarcasme en retour.
Plus grave ceux concernant la structure même de la famille aux conséquences directes et indirectes sur la cellule familiale. Chacun songera à des faits connus à titre personnel ou relatés par les médias. Que ce soit les origines d'une naissance, du rejet d'un enfant indésiré et devenu indésirable, du décès ou de la disparition volontaire d'un membre de cette famille, tout n'est pour beaucoup pas bon à dire. Mais alors comment juger ce qui est bon ou pas, et pour qui? Pour les auteurs ou acteurs de ces faits cachés? pour les condidents de ses faits? surement. Pour les autres, pour ceux concernés ne serait-ce pas une double sanction de décisions ne les concernant pas ou pourtant ils en sont le résultat?
Je ne pense pas que ce qui ressort des secrets de famille doit être tabou. Maintenir un secret déssert ceux que l'on souhaite sois disant préserver par une feine ignorance. Tôt ou tard, le ressenti éclate en vérité et le prévisible éclatement des vies parachève le désastre.

Relations personnelles et intimes possèdent eux aussi leurs non-écrit, leurs non-dit. Mais alors pourquoi? Au premier degré il s'agira de conserver ce mystère qui devient amblématique pour qui cherche à le percer. Un jeu sobre ou se découvrir se mérite. Des dénégations de plus en plus affirmées au fil des rapprochements, au fil des découvertes pour aboutir soit à une communion d'esprit ou de sentiments, soit à une interruption en forme de fuite. Ou se trouve la limite entre les deux, ou s'arrête la séduction pour laisser place à l'indifférence progressive. Se cacher derrière d'autres mots, derrière de l'humour pour ne pas écrire ou exprimer ses sentiments réels?

Dans les deux cas je retrouve la même source alimentant ce déni de soi, la peur. Cette peur imaginaire souvent, réelle parfois fait son oeuvre. Il n'est point de médication pour la combattre si ce n'est que l'expression. L'expression sous toutes ses formes est régénératrice de l'esprit, régénératrice de la conscience. Parler, oser dire, se prendre par les consonnes pour dérouler les lettres libératrices.

Liberté je t'aime parce que tu permets d'oser, tu stimules les envies, tu offres la vie que tu nous proposes de croquer.

Nous voici arrivé au bout de cette réflexion. Elle est mienne, écrite dans le fil de la pensée.


Mardi 30 septembre 2008 à 15:42

Ah oui c'est bien vrai! Les temps changent.
Je vous sens quelque peu perplexes par cette affirmation qui n'a rien de poétique et pourtant, c'est bien moi qui vous le dit! Un exemple vous convaincra surement, et même, vous finirez par vous ranger à mes cotés.

J'ai le souvenir d'une jeune femme gaie, élégante, intelligente. Non je n'exagère pas, si vous la connaissiez vous ne pourriez qu'approuver. Bref je continue. La vie a fait que le temps est passé. Que cette jeune femme est devenue une personnalité respectée dans son univers. D'une communication naturelle elle en a fait son métier et a plutôt réussi à ses dires. En fait madame C (non rien à voir avec une célèbre dame du même initiale) est chef d'entreprise. Les heures à rallonge, les années alignées, tout entière consacrées à son job.
Vous me direz que c'est super de voir autant d'abnégation dans son travail. Attendez le suite.
Si pour parvenir à son rang son travail ne peut que la valoriser, que dire de son caractère, de son comportement envers ses relations passées... Lui écrire ne servira qu'à recevoir une lettre type de son secrétariat particulier du style:
"chez monsieur (même si vous êtes une femme), vous avez souhaitez prendre contact avec mademoiselle C. Pour ce faire son secrétariat met à votre disposition sur internet un formulaire dans lequel vous pourrez exposer concrètement les raisons vous conduisant souhaiter une réponse manuscrite de sa part.
Vous voudrez bien je vous prie vous conformer exclusivement au type de contact que nous nous soumettons. Toute autre voie serait sans issue et donc sans réponse.
Veuillez agréer....",
Les photos publiées dans les magasines populaires tranchent avec celles de Poing Deux Vu Mirage d'Une Onde, traits tirés, sourire oublié dans sa crème anti ride, et quant à lire l'article de ces publication, le langage cru et limite vulgaire du genre:
"Mais pourquoi voullez vous que je ne parle qu'avec des sous-entendu? Vous n'êtes de toute façon incapables de comprendre au dela du premier degré. Alors fouttez moi la paix pauvres que vous êtes"

Et dire que c'était mon amie... Enfin voila, j'voulais quand même lui parler, c'est normal non? qu'auriez-vous fait à ma place?
Je compose le numéro de sa société (évidament ses numéros privés changés depuis l'an drnier ne sont plus accessibles au commun de mortels) . Au bout de la sixième sonnerie une voix:
-Mademoiselle C à votre service
-Bonjour Madame pouvez-vous me passer Mademoiselle
-Ne quittez pas...
La Mozart me tient compagnie une minute et huit secondes. Huit minutes et onze secondes une autre voix:
-Marie-France, j'écoute
-Bonjour Madame, pouvez vous me passer Mademoiselle s'il vous plait
-C'est pourquoi?
-Heu c'est privé
-Mademoiselle refuse les communications privées
-Attendez je ne vous demande pas la lune passez moi Mademoiselle
-Vous êtes sourd? je vous ai dit que Mad..
-Non c'est vous qui êtes bouchée, alors passez la moi et vite
-Soyez poli j'vous prie
-Alors ça vient? ou faut il que je vous fasse avaler votre téléphone?
-Un instant...
Mozad revient, je suis agacé...
-Allo c'est pourquoi?
-C ?
-Oui c'est pourquoi j'ai pas le temps de vous parler
-C'est moi Z
-Tu peux pas me lacher un peu?
-Mais ça fait trois ans qu'on ne s'est pas parlé!
-Ben ça pouvait durer figures toi
-Comment tu vas?
-Tu ne lis pas les journaux? si c'est pour ça que tu appelles tu as perdu ton temps
Fin de communication.

J'oubliais de vous préciser, Mademoiselle C dirige une grosse société dont l'objet et la communication et le tourisme....

Alors vous en pensez quoi?

PS: Un autre texte vous éclairera prochainement sur cette parution qui change de mes publications...

Jeudi 28 août 2008 à 8:30

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A COTE

 

A coté … à coté !

Ce n'est pas facile de le deviner, tantôt cheval, tantôt tête de chien ou peut être mouvement de mer dans le sable farineux de la plage…. Mais alors pourquoi se perche t-il la haut, mélangé à l'azur de la pureté de ce ciel d'été ? Oh surement le besoin d'un contraste, lui si pâle et aux formes approximatives ou pénètre l'imaginaire du vagabond ou du couple en rêverie.

 

A coté…. oui peut être !

Il ne sert à rien en apparence, perché comme il est, balloté aux courants ascendants. Ou peut être si, il sert à faire remarquer que le ciel est bleu, que le léger zéphire sculpte ses formes comme un auteur ses héroïnes. Ça le rend mystérieux. Il intrigue. On s'en méfie. Une amplitude imprévue le colorant légèrement et c'est le doute, la crainte de voir disparaître le tableau coloré d'apostrophes au profit d'un masque sombre de l'oppression.

 

A coté… surement !

Parcourant son chemin il n'aura pourtant pas cédé au désarroi des esprits inventifs voulant le rendre messie d'une journée détestable. Il chemine changeant son spectre en haut de forme sans tête. Mais alors pourquoi couvrir ce chef qui n'est pas tête ? Et combien même à quoi cette tête recouverte de son couvre chef pourrait elle servir sans corps ? Parce qu'évidement il n'a pas de corps ou du moins on ne le remarque pas. Et l'on s'étonne de son manque de conversation ou ses idées ne peuvent prendre corps.

 

A coté… pas si sur !

Sans gêner ni quelqu'un ni personne sauf lui peut être lors de ses introspection pendant son changement de visuel pour paraître yeux profonds de nulle part, il fait sa route. Une route en dégradé, en parallèle oblique de la vie de ses observateurs. Comment s'appelle t-il déjà ? Qu'importe, après tout on le regarde sans lui parler, on parle de lui sans le regarder alors qu'importe quel est son nom mais il est la. On ne sait pas ce qu'il pense, ce qu'il fait, ce qu'il cherche mais on sait qu'il est la même s'il se confond souvent avec la cotonneuse toile de son univers, caché  mais pas dissout, invisible mais pas absent.

 

A coté… non !

Hey vous…. Hey vous qui pensiez me connaître. Vous qui pensiez, qui rêviez, qui viviez en me regardant, en êtes vous certains ? Etes vous certains que je n'existe que dans la haute atmosphère ?  J'ai reçu la foudre de vos regards inquisiteurs. Je suis à vos pieds maintenant, vous me marchez dessus. A quoi bon me ramasser, vous aspirez à mon évaporation.

 

C'est fait…

 

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